En ce qui concerne la question générale de savoir si un produit doit être inclus dans différentes catégories, les opinions sont nombreuses et bien sûr complètement différentes. Dans cet article, je vais d’abord en partager quelques-unes, puis exposer une partie de l’audit d’un de nos clients, traitant de ce sujet particulier.
Opinions tirées des discussions du forum
D’un point de vue SEO, il est préférable de choisir ce qui convient le mieux à l’utilisateur. S’ils s’attendent à trouver un produit dans plusieurs catégories, ce doit être le chemin.
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Ce n’est pas un problème qu’un produit soit dans différentes catégories. Si un contenu dupliqué se produit par hasard, des balises canoniques doivent être placées. Cela peut se produire si le produit a une URL différente dans chaque catégorie, ce qui arrive parfois lorsque le nom de la catégorie se trouve dans l’URL. Une autre option pour éviter ce problème est d’écrire une description de produit unique dans chaque catégorie.
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Si vous mettez un produit dans plusieurs catégories, alors les catégories ne sont pas faites correctement. J’ai toujours dit qu’un produit devait avoir une seule URL et ne devait pas dépendre de la catégorie. Mais à cause de tactiques SEO mal comprises, toutes sortes de perversions sont faites…
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Vous pouvez mettre le produit dans plusieurs catégories, mais dans l’URL du produit, il n’y a tout simplement pas de catégorie. De cette façon, vous aurez beaucoup plus de liens internes vers le produit et vous n’aurez pas non plus de doublons.
Notre étude de cas sur les avantages et les inconvénients d’un produit répertorié dans plusieurs catégories
Généralement, ce type d’enquête fait partie de l’audit SEO de la structure du site Web, mais dans ce cas, il a été inclus dans un audit SEO technique approfondi.
Notre client qui a eu ce problème est une boutique en ligne d’alcool de marque de qualité.
Le cas que nous voulons vous montrer pourrait être le résultat de la fonctionnalité intégrée de la plate-forme elle-même ou d’une logique supplémentaire conçue à cet effet particulier. Quoi qu’il en soit, je le décrirais comme une technique ou une stratégie à la frontière entre les bonnes pratiques de référencement et celles que nous devrions essayer d’éviter.
Ce que nous avons réellement vu, c’est que la même page était « dupliquée » à différents endroits avec différentes URL.
Strictement parlant, du point de vue d’éviter le contenu dupliqué, tout allait bien, car les pages produits dupliquées étaient Canonicalisé – avait l’URL principale du produit comme lien canonique.
En raison de cette structure, à première vue, il semble que le maillage interne est augmenté, mais en réalité, le site est pléthorique avec de nombreuses pages identiques et il y a certainement un gaspillage de budget de crawl.
À la suite de cette stratégie, Google a indexé les informations sur différentes pages, non pas sur les pages de produits elles-mêmes, mais sur les pages de cluster/catégorie contenant des liens vers les pages de produits.
Voici les liens Google SERP pour l’exemple ci-dessus :
- https://domainname.com/alcohol-drinks/ingredients-for-cocktails/havana-club-especial-700ml
- https://nomdomaine.com/havana-club
- https://domainname.com/alcohol-drinks/rum?page=6&
- https://domainname.com/alcohol-drinks/rum?page=6
- https://domainname.com/alcohol-drinks/ingredients-for-cocktails?page=6&
- https://domainname.com/ingredients-for-cocktails?page=4
Encore une fois, cela semble être un résultat positif à première vue, mais la vérité est que cela peut être réalisé sans avoir à dupliquer littéralement les pages et à faire des copies avec d’autres URL, mais simplement en plaçant des informations différentes et un lien vers la page principale du produit dans les différentes catégories. Cette solution serait beaucoup plus efficace, car nous augmenterions ainsi l’importance de la page principale du produit unique.
Cette stratégie avait créé une situation étrange et la structure ainsi construite envoie des signaux mitigés et déroutants aux moteurs de recherche. D’une part, nous avons des pages qui sont répertoriées comme une copie d’un certain(canonisé), et d’autre part, nous avons des liens vers ces pages, mais nous n’avons pas de liens vers la page principale du produit (page orpheline).
La page principale du produit n’avait pas de liens internes réels et était en fait une page orpheline – il n’y avait que des liens canoniques vers elle.
Les pages de produits en double avaient des liens vers eux.
Grâce à cette stratégie, la boutique en ligne comptait plus de 80 000 pages.
A quoi servent ces 80 000 pages quand Google n’en indexe finalement que 3 000 ?
Structure complexe difficile à maintenir, ce qui réduit la capacité des robots de Google à visiter les pages importantes nouvelles ou mises à jour.
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